L'abbé
Béranger Saunière, un curé peu catholique
Arrivé à Rennes-le-Château
en 1885, l'abbé Saunière ne tardera pas à
faire le tour des documents de l'église. Un feuillet, un indice,
un document, le trésor des cathares est toujours enfoui dans les
ruines du château de Coustaussa.
Le château de Coustaussa
Bien renseigné, l'abbé Béranger Saunière
ne tardera pas à mettre la main sur le trésor et les documents
abandonnés à l'époque. 80 millions de francs, une
somme rondelette. Sa frénésie de construction débute
par la réfection de son église puis de la mise en oeuvre
d'une tour de style gothique, Magdaléna, et enfin d'une
maison de style renaissance, la villa Béthania. Une serre,
un parc de jeu, une orangeraie complètent l'ensemble.
Ce
lieu est terrible, un diable à l'entrée
Cette
inscription qui figure sur le porche d'entrée donne au visiteur
la chair de poule mais il identifie de façon formelle que la réfection
de l'église a bien été faite avec l'argent des
hérétiques et non avec un trésor Visigoth
ou un trésor enterré à la révolution. L'impression
de malaise s'accentue avec le diable qui soutient le bénitier et
regarde avec insistance un dallage en échiquier.
La villa Béthania, un presbytère ou une demeure bourgeoise ?
La villa qui servait de presbytère a plus l'allure d'une
maison bourgeoise que d'une demeure religieuse. Les souvenirs du curé
y sont toujours présents.
La
tour Magdalena, un magnifique belvédère sur la région environnante
Magdalena pour Marie-Madeleine, tout à Rennes-le-Château renvoie à Marie-Madeleine. L'abbé Saunière disait-on y surveillait
son trésor. De la tour Magdalena on découvre un magnifique
panorama sur le château de Coustaussa, mais également
sur le château du XVIe des ducs de Joyeuse à Couiza
et sur la vallée de l'Aude.
Pour en savoir plus sur la véritable histoire
de l'abbé saunière
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